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Les effets de la consommation d’alcool

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La consommation d’alcool engendre chez certaines personnes une diminution de leur niveau de stress perçu, à court terme. Cependant, à moyen et à long terme, la consommation d’alcool augmente le niveau de stress en stimulant la sécrétion du cortisol, hormone liée au stress (1).

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La consommation d’alcool nuit aux performances physiques. De plus, suite à une consommation, vous êtes moins endurants, risquez davantage de vous blesser et votre récupération sera plus lente après l’effort (2).

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L’alcool influence aussi le sommeil. Alors que l’endormissement peut être plus rapide, l’alcool peut augmenter le nombre de réveils durant la nuit et les risques d’insomnie. De plus, une consommation d’alcool modifie le cycle du sommeil, qui entrave la récupération et le fonctionnement normal du lendemain (3). 

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Le risque suicidaire est 5,5 fois plus élevé chez les personnes qui ont un problème d’abus ou de dépendance à l’alcool, comparativement à la population générale. De plus, les consommateurs d’alcool qui souffrent d’un trouble de santé mentale ont aussi un risque suicidaire plus élevé (4).

 

Une consommation excessive d’alcool est associée à plusieurs autres risques, notamment (5) :

• déséquilibre hormonal

• entrave au développement du système reproducteur

• entrave au bon fonctionnement de la mémoire

• dysfonctionnement physique

• nausées, vomissements, évanouissements

• saignements gastro-intestinaux

• arythmie cardiaque

• accident cérébrovasculaire (AVC)

• comportements sexuels à risque

• comportements violents

 

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Une consommation modérée

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Éduc’Alcool recommande une consommation maximale de 2 verres par jour ou 10 verres par semaine pour les femmes et de 3 verres par jour ou 15 verres par semaine pour les hommes. Néanmoins, il est conseillé de ne pas consommer d’alcool minimalement une à deux journées par semaine, afin de limiter le risque de dépendance à l’alcool (6). 

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De plus, ces limites s’adressent à la population générale. Plusieurs facteurs sont à prendre en considération lorsqu’il est question d’une consommation, notamment la génétique, le poids, l’âge, la prise de médicaments ou de drogues, la faim, la fatigue et le stress.

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