LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE
La réussite scolaire se définit comme étant l’achèvement avec succès d’un parcours scolaire, notamment par la persévérance, la performance ainsi que l’obtention d’un diplôme, alors que la réussite éducative inclut aussi la réalisation de son plein potentiel et l’atteinte de buts personnels (1).
La poursuite d’études supérieures nécessite donc de réussir les cours d’un point de vue académique, mais également de persévérer dans une démarche d’apprentissage. Dans un contexte d’études à distance, les services sont parfois plus difficiles d’accès pour les étudiants. Plusieurs facteurs de risque et de protection seront présentés afin de comprendre ce qui permet de mener à terme un projet d’études.
D’abord, certains facteurs influencent la persévérance scolaire, notamment l’environnement familial, scolaire, social et personnel. Dans l’environnement familial, on note l’importance de l’engagement et de l’encouragement parental, le niveau de scolarité des parents, le milieu socio-économique, la valorisation de l’école, les attentes des parents, le soutien affectif, etc. Tous ces facteurs peuvent contribuer à maintenir un jeune dans son cheminement scolaire ou, au contraire, entraîner le décrochage scolaire (2).
Parmi les facteurs scolaires, on retrouve notamment le climat scolaire, le sentiment d’appartenance du milieu, les ressources et activités disponibles dans le milieu, ainsi que la valorisation de la réussite et les activités disponibles (3).
Les facteurs sociaux ou issus de la communauté ont aussi une influence sur la persévérance scolaire. Il y a l’importance des relations sociales, le soutien social, la valorisation de l’éducation, l’accès à des ressources et services dans la communauté ainsi que la croyance que tout élève peut réussir (4). À titre d’exemple, «65 % des décrocheurs interrogés déclarent que leurs amis sont d’avis qu’il est important de terminer ses études secondaires alors que cette proportion s’élève à 86 % chez les persévérants et les diplômés. Pas moins de 50 % des décrocheurs avaient également un ami qui était décrocheur, contre seulement 20 % chez les persévérants et les diplômés» (5). Cela démontre l’importance et l’influence du réseau social chez les jeunes, particulièrement à l’adolescence et au début de l’âge adulte.
Les facteurs personnels sont aussi à considérer en ce qui a trait à la persévérance et la réussite scolaire. Cela inclut notamment la motivation, la santé mentale, l’estime de soi, les aspirations professionnelles, les habitudes de vie, etc.

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Par exemple, les étudiants qui ont un fort sentiment d’auto-efficacité sont ceux qui réussissent le mieux. Ils ont confiance en leurs capacités et mettent en œuvre diverses stratégies afin de persévérer. Ils sont plus persévérants dans les tâches difficiles et conçoivent les examens comme des moments d’apprentissage. Leur objectif scolaire est d’apprendre et de maîtriser sa discipline d’étude. À l’opposé, un étudiant qui a pour objectif de performer comparativement à ses camarades de classe aura de plus faibles performances académiques et sera moins tolérant à l’échec (7).
Plusieurs facteurs liés à l’environnement personnel influencent non seulement la persévérance scolaire, mais aussi la réussite scolaire et plus largement, la réussite éducative. Chaque facteur présenté sera expliqué et sera directement mis en lien avec un objectif spécifique du site En toute QuiÉtude.
La santé mentale
La santé mentale des étudiants préoccupe de plus en plus les établissements scolaires et de nombreux programmes sont mis sur pied afin de favoriser une meilleure santé mentale. Par exemple, le niveau de stress perçu des étudiants a été mesuré, à l’aide de sondages. Au Cégep Régional de Lanaudière à Terrebonne, 1202 étudiants ont été sondés. Il apparaît que 62,48% des répondants se disent très stressés ou stressés (respectivement 23,63% et 38,85%) (8). Ces résultats sont comparables à ceux obtenus par Jacques Roy dans le réseau collégial, alors qu’il obtenait 57% des répondants stressés ou très stressés (9). Quoique les effets du stress soient variables selon le niveau de stress ainsi que les capacités individuelles de gestion du stress, un niveau de stress trop élevé nuit généralement à la performance (10).
Le sentiment dépressif semble aussi présent chez les étudiants. Une étude menée par le Centre de recherche et d'intervention sur la réussite scolaire (CRIRES) a placé la dépression au deuxième rang des prédicteurs du décrochage au secondaire (11). Chez les élèves et étudiants québécois, on estime à 16% des élèves de niveau secondaire, 33% des étudiants de niveau collégial et 24% des étudiants de niveau universitaire qui présentent des symptômes dépressifs entravant leur fonctionnement normal ou nécessitant une intervention (12-13).
Enfin, l’estime de soi joue un rôle importance dans la motivation et la persévérance scolaire. La réussite scolaire permet à un étudiant une bonne estime personnelle, ce qui contribue à renforcer positivement l’ensemble des facteurs de réussite. Pour améliorer l’estime de soi, il est souhaitable de bien préparer les transitions scolaires, de diminuer les facteurs de stress et de développer des stratégies efficaces de gestion des émotions et du stress (14).
Les objectifs spécifiques du site En toute QuiÉtude liés à la santé mentale sont :
1-D’identifier le stress, ses facteurs et ses effets
2-D’autoévaluer leur niveau de stress ou d’anxiété
3-D’expérimenter stratégies visant la réduction du stress
Les habitudes de vie
Plusieurs habitudes de vie sont liées non seulement à une bonne santé physique, mais aussi à une bonne santé psychologique ainsi qu’à la réussite scolaire. Le sommeil est en lien avec la réussite scolaire ainsi que la santé psychologique. Une étude de l’Université du Texas a démontré que les étudiants qui dorment plus de 8 heures obtiennent de meilleurs résultats scolaires que ceux qui dorment moins de huit heures en période d’examens (15). De plus, un sondage mené à l’Université de Montréal a mis en lien le niveau de satisfaction du sommeil des étudiants avec leur santé psychologique, particulièrement les symptômes dépressifs, la détresse psychologique ainsi que les idées suicidaires et tentatives de suicide (16).
L’activité physique fait aussi partie des saines habitudes de vie qui influence la réussite éducative, puisqu’elle est liée à la santé physique, l’estime personnelle, ainsi que l’épanouissement des étudiants. L’activité physique permet d’améliorer ses capacités d’attention en classe et permet de meilleures capacités cognitives (17).
Une alimentation saine et équilibrée favorise une bonne santé mentale. Les jeunes sont de plus en plus préoccupés par leur apparence corporelle et plus de la moitié des jeunes tentent de contrôler leur poids. Cependant, parmi ces jeunes, 66% tentent de contrôler leur poids de manière potentiellement dangereuse, par le biais de jeûnes, d’entraînements intensifs ou de régimes restrictifs par exemple (18). Il est donc souhaitable de promouvoir de saines habitudes de vie chez les jeunes, notamment par une alimentation équilibrée comprenant une variété d’aliments en quantité suffisante.
La consommation d’alcool, de tabac et drogues est un prédicteur du décrochage scolaire. Dans un rapport de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), la consommation est associée à un plus faible sentiment d’attachement à l’école, à des résultats académiques plus faibles dans les matières de base de même qu’à de plus faibles aspirations scolaires (19). Cette consommation peut affecter la persévérance scolaire en affectant notamment la motivation et la réussite scolaire (20).
L’objectif spécifique du site En toute QuiÉtude lié aux habitudes de vie est :
4-D’expérimenter diverses habitudes vers un mode de vie plus sain
Les méthodes de travail intellectuel
Les méthodes de travail intellectuel constituent un ensemble de savoir-faire qui permettent aux étudiants de construire leur parcours académique autour de la rigueur scientifique et de l’efficacité du travail scolaire. Il s’agit par exemple d’une bonne prise de notes, de stratégies d’études efficaces, de la gestion de son temps ou encore de ses capacités d’attention et de mémorisation. Ces habiletés sont directement liées à la réussite scolaire.
Tout d’abord, le sentiment d’efficacité personnelle est l’ensemble des perceptions qu’entretiennent les élèves à propos de leur niveau de contrôle et leur compétence scolaire. Cela influence directement leur motivation, ce qui permet un bon niveau d’engagement en classe (21). Ce sentiment d’efficacité serait d’ailleurs le premier déterminant du rendement scolaire (22).

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Les habiletés en lecture et en écriture sont aussi déterminantes du rendement scolaire, et ce, du niveau préscolaire et primaire jusqu’au niveau collégial et universitaire. Il s’agit non seulement de conditions d’obtention de plusieurs diplômes, mais ces compétences ont des répercussions dans l’ensemble des matières ou disciplines auxquelles le jeune est initié (24).
Plusieurs autres méthodes de travail intellectuel semblent agir efficacement sur le rendement scolaire des jeunes. La méta-analyse de John Hattie a permis d’identifier les stratégies d’enseignement efficaces auprès des élèves. Parmi les stratégies les plus efficaces, on note particulièrement l’enseignement de la prise de notes et de méthodes d’étude ainsi que l’enseignement d’habiletés métacognitives (25).
L’objectif spécifique du site En toute QuiÉtude lié aux méthodes de travail intellectuel est :
5-D’acquérir des méthodes de travail intellectuel afin d’augmenter leur efficacité, leur efficience et leur réussite scolaire et professionnelle
Le budget et la gestion financière
Les étudiants québécois sont plus nombreux à occuper un emploi rémunéré comparativement aux étudiants des autres provinces canadiennes, en plus d’y consacrer plus d’heures (26). Quoique cela puisse aider les étudiants à mieux définir leur parcours professionnel, le travail rémunéré, ajouté aux autres exigences de l’étudiant, mène à une diminution des heures consacrées aux études et à un plus faible rendement scolaire, de même qu’une diminution de l’engagement scolaire (27).
Comment intervenir? Il est d’abord important de sensibiliser les étudiants à l’impact de leur travail sur leur rendement scolaire, mais aussi de leur apprendre à élaborer un budget équilibré, à gérer leurs finances et à faire des choix de consommation plus éclairés (28).
Les objectifs spécifiques du site En toute QuiÉtude lié au budget et aux finances sont :
6-D’identifier l’impact du travail rémunéré sur leurs études
7-D’identifier le fonctionnement budgétaire et d’adopter une saine gestion financière
L’orientation et le choix de carrière
La définition d’un projet de formation est un facteur de protection contre le décrochage scolaire, en augmentant la motivation liée aux études (29). L’objectif devient plus concret et augmente l’engagement dans les études. Pour y arriver, diverses activités peuvent être mises sur pied afin d’aider les étudiants dans leur orientation académique et professionnelle, notamment du mentorat ou du parrainage. De plus, il est important d’exposer rapidement les jeunes aux choix de carrière et aux réalités des milieux de travail afin d’augmenter leur persévérance (30).
Les objectifs spécifiques du site En toute QuiÉtude liés à l’orientation et au choix de carrière sont :
8-D’explorer différents métiers et professions
9-D’examiner leur parcours académique et professionnel
LES OBJECTIFS
Les 9 objectifs spécifiques du site En toute Quiétude sont donc de permettre aux étudiants :
1-D’identifier le stress, ses facteurs et ses effets
2-D’autoévaluer leur niveau de stress ou d’anxiété
3-D’expérimenter stratégies visant la réduction du stress
4-D’expérimenter diverses habitudes vers un mode de vie plus sain
5-D’acquérir des méthodes de travail intellectuel afin d’augmenter leur efficacité, leur efficience et leur réussite scolaire et professionnelle
6-D’identifier l’impact du travail rémunéré sur leurs études
7-D’identifier le fonctionnement budgétaire et d’adopter une saine gestion financière
8-D’explorer différents métiers et professions
9-D’examiner leur parcours académique et professionnel
Le contexte particulier de la formation à distance
La formation à distance est en grande partie similaire à la formation en présentiel. Il s’agit d’un mode d’organisation de la formation qui permet cependant à l’étudiant une plus grande flexibilité et une plus grande autonomie, notamment par les horaires plus souples ainsi que l’absence de déplacements quotidiens obligatoires.
Qu’en est-il de l’accessibilité des services et mesures d’aide qui sont habituellement offerts sur les campus? Les établissements universitaires offrant des programmes à distance proposent de nombreuses possibilités d’ateliers ou de sites permettant le développement d’habiletés spécifiques ou encore des services d’aide psychologique ou d’orientation. Cependant, peu d’étudiants ont recours aux services qui leurs sont offerts, notamment par les personnes tutrices, chargées d’assurer leur encadrement (31). De plus, plusieurs obstacles à la persévérance ont été identifiés en formation à distance. L’isolement ainsi que les difficultés liées aux technologies de l’information et de la communication font partie des obstacles à la persévérance des étudiants, mais également la frustration et l’anxiété qui nuisent à la santé psychologique des étudiants de même qu’à leur persévérance scolaire (32). Ces difficultés sont ensuite exacerbées lorsque la demande d’aide à la personne tutrice n’est pas suffisante pour solutionner le problème (33). La frustration peut aussi provenir du temps consacré par un étudiant à son travail, mais dans la mauvaise voie. Ainsi, s’ensuit une perte de temps et du découragement, puisque la distance entre l’étudiant et l’enseignant n’a pas permis à ce dernier de voir que son étudiant n’évoluait pas dans la bonne direction (34).
Certaines études dénotent des taux d’abandon très élevés chez les étudiants à distance. Par exemple, une étude a mesuré les taux d’abandons des étudiants universitaires en première session. En présentiel, 5% ont abandonné alors que ce taux s’élève à 48% en formation à distance (35). Le manque de temps ainsi que l’isolement feraient partie des principaux facteurs d’abandon (36).
Enfin, il est démontré que «les outils technologiques et les médias sociaux contribuent à la motivation, à la socialisation et à la persévérance en formation à distance» (37). Le site En toute QuiÉtude vise donc à accroître l’accessibilité des ressources aux étudiants en formation à distance. En agissant sur l’ensemble de ces facteurs, il est souhaitable que la réussite éducative des étudiants québécois soit améliorée, augmentant les taux de diplomation et permettant à une main d’œuvre qualifiée d’accéder au marché du travail, tout en favorisant une bonne santé physique et psychologique des étudiants.
RÉFÉRENCES
1. Conseil régional de prévention de l’abandon scolaire (CRÉPAS). ABC de la persévérance. Repéré à http://www.crepas.qc.ca/69-quelques_definitions
2. Projet partenaires : Pour la réussite éducative en Estrie. Facteurs de risque et de protection : Décrochage scolaire. Repéré à http://www.reussiteeducativeestrie.ca/dynamiques/Outils/Facteurs_de_risque_et_de_protection_web-PREE.pdf
3. Projet partenaires : Pour la réussite éducative en Estrie. Facteurs de risque et de protection : Décrochage scolaire. Repéré à http://www.reussiteeducativeestrie.ca/dynamiques/Outils/Facteurs_de_risque_et_de_protection_web-PREE.pdf
4. Projet partenaires : Pour la réussite éducative en Estrie. Facteurs de risque et de protection : Décrochage scolaire. Repéré à http://www.reussiteeducativeestrie.ca/dynamiques/Outils/Facteurs_de_risque_et_de_protection_web-PREE.pdf
5. Réunir Réussir. (2013). Pour agir efficacement sur les déterminants de la persévérance scolaire et de la réussite éducative. Repéré à https://www.reseaureussitemontreal.ca/wp-content/uploads/2015/08/doc_fiches_pratiques_determinants.pdf
6. Projet partenaires : Pour la réussite éducative en Estrie. Facteurs de risque et de protection : Décrochage scolaire. Repéré à http://www.reussiteeducativeestrie.ca/dynamiques/Outils/Facteurs_de_risque_et_de_protection_web-PREE.pdf
7. Amadieu, F. & Tricot, A. (2015). Les facteurs psychologiques qui ont un effet sur la réussite des étudiants. Recherche et pratiques pédagogiques en langues de spécialité, 34 (2).
8. Blanchet, D & Ouellette, C. (2017). Portrait des étudiants et étudiantes du Cégep Régional de Lanaudière à Terrebonne et indicateurs de réussite (Rapport de recherche).
9. Roy, J. & Mainguy, N. (2005). Étude comparée sur la réussite scolaire en milieu collégial selon une approche d’écologie sociale. PARÉA.
10. Lupien, S. (2018). L’anxiété de performance chez les jeunes. Mammouth Magazine, 18.
11. Fortin L., Marcotte D., Potvin P. & Royer E. (2007). Étude longitudinale sur la persévérance et le décrochage scolaire. CRIRES.
12. Marcotte D. (2000). La prévention de la dépression chez les enfants et les adolescents. Dans Vitaro F. et Gagnon C. (Eds.), Prévention des problèmes d’adaptation chez les jeunes, 221-270. Presses de l’Université du Québec.
13. Marcotte, D., Villatte, A., Paré, M-L. & Lamarre, C. (12 octobre 2016). Le programme Zenétudes : prévenir la dépression et l’anxiété chez les nouveaux collégiens. Association canadienne-française pour l’avancement des sciences (Acfas). Repéré à https://www.acfas.ca/publications/decouvrir/2016/10/programme-zenetude-prevenir-depression-anxiete-nouveaux-collegiens
14. Réunir Réussir. (2013). Pour agir efficacement sur les déterminants de la persévérance scolaire et de la réussite éducative. Repéré à https://www.reseaureussitemontreal.ca/wp-content/uploads/2015/08/doc_fiches_pratiques_determinants.pdf
15. Scullin, M.K. (2018). The Eight hour Sleep Challenge During Final Exams Week, Teaching of Psychology, 1(9).
16. FAÉCUM. (2016). Enquête sur la santé psychologique étudiante. Repéré à http://www.faecum.qc.ca/ressources/avis-memoires-recherches-et-positions-1/enquete-sur-la-sante-psychologique-etudiante
17. Réunir Réussir. (2013). Pour agir efficacement sur les déterminants de la persévérance scolaire et de la réussite éducative. Repéré à https://www.reseaureussitemontreal.ca/wp-content/uploads/2015/08/doc_fiches_pratiques_determinants.pdf
18. ISQ. (2012). L’Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire. Repéré à http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/sante/pdf2012/EQSJS_tome1.pdf
19. Nanhouv V., Ducharme A., Eid H. (2013). L’initiation au tabac, à l’alcool et aux drogues. Portraits et trajectoires, 16, Institut de la statistique du Québec. Repéré à http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/sante/pdf2013/portrait_fr_no16.pdf
20. Gagnon H. & Rochefort L. (2010). L’usage de substances psychoactives chez les jeunes Québécois : conséquences et facteurs associés. Institut national de santé publique du Québec, 1102, 1-43.
21. Viau, R. (1994). La motivation en contexte scolaire. Éditions du Renouveau Pédagogique, Montréal.
22. Bouffard T., Brodeur M. & Vezeau C. (2005). La motivation des élèves au primaire : un élément essentiel de la réussite scolaire. SQRSC. Repéré à http://www.fqrsc.gouv.qc.ca/upload/editeur/resultats-recherche/Fiche_Bouffard.pdf
23. Réunir Réussir. (2013). Pour agir efficacement sur les déterminants de la persévérance scolaire et de la réussite éducative. Repéré à https://www.reseaureussitemontreal.ca/wp-content/uploads/2015/08/doc_fiches_pratiques_determinants.pdf
24. Réunir Réussir. (2013). Pour agir efficacement sur les déterminants de la persévérance scolaire et de la réussite éducative. Repéré à https://www.reseaureussitemontreal.ca/wp-content/uploads/2015/08/doc_fiches_pratiques_determinants.pdf
25. Barriault, L. (8 juillet 2015). Hattie et ses stratégies efficaces d’enseignement. Réseau d’information pour la réussite éducative. Repéré à http://rire.ctreq.qc.ca/2015/07/strategies-efficaces-enseignement/
26. Gauthier M-A. & Labrie M-P. (2013). Le travail rémunéré chez les étudiants québécois. Coup d’œil sociodémographique, 23. Repéré à http://www.stat.gouv.qc.ca/publications/conditions/pdf2013/coupdoeil_sociodemo_no23.pdf
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28. Réunir Réussir. (2013). Pour agir efficacement sur les déterminants de la persévérance scolaire et de la réussite éducative. Repéré à https://www.reseaureussitemontreal.ca/wp-content/uploads/2015/08/doc_fiches_pratiques_determinants.pdf
29. Réunir Réussir. (2013). Pour agir efficacement sur les déterminants de la persévérance scolaire et de la réussite éducative. Repéré à https://www.reseaureussitemontreal.ca/wp-content/uploads/2015/08/doc_fiches_pratiques_determinants.pdf
30. Mintz, S. (28 mai 2019). Strategies for Improving Student Success. Repéré à https://www.insidehighered.com/blogs/higher-ed-gamma/strategies-improving-student-success
31. Deschênes, A.-J., Gagné, P., Bilodeau, H., Dallaire, S., Pettigrew, F., Beauchesne-Rondeau, M., Côté, C., Maltais, M., Sylvain, L. & Thériault-Fortier, J. (2004). Le tutorat à distance : qu’en pensent les étudiants, les tuteurs et les concepteurs? Une étude de cas. Distance et Savoirs, 2(2-3), 233-254.
32. Denami, M. A. & Marquet, P. (2015). Le sentiment d’isolement en formation ouverte à distance (FOAD) : quelle réalité, quelles conséquences? Frantice.net, 10, 47-63.
33. Hara, N. & Kling, R. (2001). Student distress in Web-based distance education. Educause quarterly, 3, 68-69.
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35. Fédération étudiante universitaire du Québec. (2009). Avis sur la formation à distance. Repéré à http://www.capres.ca/wp-content/uploads/2014/07/PUBFD-2009-1-AvisFAD-FEUQ.pdf
36. Racette, N., Poellhuber, B & Fortin, M-N. (2014). Dans les cours à distance
autorythmés : la difficulté de communiquer. Distances et médiations des savoirs, 7, 1-19.
37. Racette, N., Poellhuber, B & Fortin, M-N. (2014). Dans les cours à distance
autorythmés : la difficulté de communiquer. Distances et médiations des savoirs, 7, 1-19.